Alors que les éléctions au sein de la féderation camerounaise de football sont prevues pour le 4 février, la fédération internationale de volleyball y pose des exigences pour enteriner les élections.
Le 4 février prochain, la Fédération camerounaise de volleyball (Fecavolley) organisera ses élections nationales. Elle fait suite à une convocation de l’assemblée générale par le président sortant de la fédération, Serge Abouem.
Cette note d’information publiée récemment par la Fécavolley intervient quelques jours après le rappel de la Confédération Africaine de Volleyball pour l’informer du calendrier des élections au sein de la fédération.
Ce n’est pas la seule injonction. Il y a aussi celle de la Fédération Internationale de Volleyball (FIVB). Dans une lettre adressée le 19 janvier à Serge Abouem, elle rappelle que l’institution a le pouvoir de ne pas reconnaître ou non une élection si les exigences légales et administratives de la Fédération Internationale de Volleyball ne sont pas respectées. C’est ainsi qu’elle demande à la fécavolley de bien vouloir lui soumettre la version actuelle des statuts de la fédération et la liste des membres actuels du FCVB.